1) Choisissez la bonne affirmation concernant l'avis islamique sur la question du jeu de hasard.

1. Le jeu de hasard est considéré comme une abomination, œuvre de Satan.
2. Le jeu de hasard est considéré comme une entrave à l'invocation d’Allah et à la prière.
3. Le seul fait d'envisager de jouer à un jeu de hasard est considéré comme blâmable.
4. Le jeu de hasard est considéré comme l'œuvre de Satan pour jeter entre les uns et les autres l’inimitié et la haine.
5. Tout ce qui précède.

2) L'Islam considère le jeu de hasard comme étant:

1. permis, même s'il est détesté.
2. interdit.
3. permis et encouragé.
4. interdit, sauf lorsqu'on y joue avec de l’argent excédentaire.

3) Choisissez l'affirmation vraie en ce qui concerne les jeux de hasard.

1. Une éducation convenable n'a aucun effet sur le fait qu'une personne se livre ou non aux jeux de hasard à l'avenir.
2. Un joueur compulsif ne peut pas espérer que son péché soit pardonné par Allah.
3. L'Islam interdit d'obtenir de l'aide professionnelle dans un centre de soin contre la dépendance.
4. La "dépendance au jeu" n'est pas considérée comme un problème de santé mentale.
5. Aucune de ces réponses.

4) Un de vos amis proches musulmans a développé une dépendance aux jeux de hasard. Après avoir perdu une somme d'argent considérable et craignant la faillite, il veut maintenant se débarrasser de cette mauvaise habitude. Comment le conseilleriez-vous?

1. Lui conseiller de demander de l'aide à un centre de soin contre la dépendance.
2. Lui conseiller de se repentir et de demander de l'aide à Allah grâce à l'invocation.
3. Lui conseiller de commencer à accomplir durant son temps libre des activités qui relèvent de l'obéissance à Allah.
4. Tout ce qui précède.

5) Identifier les effets néfastes pouvant résulter du jeu de hasard.

1. Il peut décourager de travailler honnêtement.
2. Il peut encourager la cupidité, le matérialisme et l'insatisfaction.
3. Il peut réconforter l'idée d'argent facile.
4. Il peut inciter à la dilapidation insouciante des ressources données par Dieu.
5. Tout ce qui précède.